Le 15 décembre, un rapport parlementaire PS-UMP a proposé de fermer un réacteur en fin de vie sur deux, afin d’aboutir à une part du nucléaire dans la production d’électricité de 50% en 2050 puis 30% en 2100 contre près de 80% aujourd’hui.
Le même jour, la ministre UMP de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet envisageait la fermeture de la centrale de Fessenheim : « La fermeture n’est pas exclue. Elle n’est pas non plus à ce stade annoncée. »
Après l’accord EELV-PS sur la réduction de la part du nucléaire, voici que semble s’esquisser le même mouvement à l’UMP. On ne peut qu’espérer que le nucléaire devienne un sujet d’émulation entre droite et gauche pour une sortie du nucléaire beaucoup plus rapide.
